Selon nos habitudes, notre mode alimentaire peut peser très lourd sur la planète. Mais des gestes simples peuvent réduire fortement notre empreinte. En suivant les sept conseils ci-après, il est possible de manger comme un roi tout en faisant un grand effort pour la protection du climat.

  1. Faire de l’ordre

Des placards qui débordent sont le meilleur moyen de gâcher de la nourriture, simplement parce qu’on l’oublie. Les consommateurs sont responsables d’environ un tiers des produits gaspillés. Achetons donc seulement ce dont on est sûr d’avoir besoin pendant les jours qui suivent.

  1. Local n’est pas global

Cette mangue qui est venue en avion depuis l’Amérique du sud nous fait envie? Laissons-la là où elle est. Le transport aérien émet 90 fois plus de CO2 que le transport maritime et 15 fois plus de celui par camion.

  1. L’important, c’est la beauté intérieure

Une carotte tordue! Quelle importance? Le goût sera le même. Idem avec une tomate fendue. Elle aura la même saveur dans une sauce. En ne nous laissant pas influencer par l’apparence extérieure, nous ferons beaucoup de bien à la planète.

  1. La patience paie

Le bilan écologique des plantations à l’air libre est jusqu’à 30 fois meilleur que celui de la production en serre. Attendons donc que la saison ait commencé. En plus, le goût est bien meilleur.

  1. Directement chez le producteur

En se rendant à la ferme pour acheter nos produits, nous avons non seulement la garantie de trouver des aliments frais, mais nous évitons aussi d’avoir recours à des emballages plastiques.

  1. Moins, c’est plus

Pas besoin de renoncer totalement à la viande et aux autres produits d’origine animale! Mais en donnant aussi aux légumes le premier rôle dans l’assiette, on se rend compte que les plats ne sont pas moins intéressants.

  1. Devenir plus créatif

C’est vrai, un steak, c’est facile et rapide. Mais le boeuf propose bien d’autres pièces, à cuire bien plus longtemps. Prenons donc le temps et nous ferons de belles découvertes culinaires.

Source : Projet #NOUSSOMMESLEFUTUR de SuisseEnergie